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Introduction
Depuis longtemps, les chercheurs tentent d’influencer l’état des plantes et plus largement des végétaux grâce à la diffusion d’une musique bien particulière. La concrétisation de cette étude pourrait ainsi développer un angle nouveau d’approche de la génétique, et ouvrir de nombreuses portes vers des applications dans une palette étendue de domaines d’activités.
Le Projet
Depuis les années 60, de nombreux chercheurs ont prouvé les effets de certaines musiques sur la croissance de plantes. Joël Sternheimer, Docteur en physique théorique et musicien, a non seulement trouvé comment expliquer ces effets, mais aussi comment les reproduire systématiquement et avec une plus grande intensité.
Ses recherches, depuis plus de 40 ans, ont prédit et indirectement mis en évidence que : - lors du processus de synthèse des protéines, les acides aminés émettent des séquences de signaux quantiques qui constituent une mélodie spécifique de chaque protéine ;
- par les ondes d’échelle, les transpositions de ces mélodies dans la gamme musicale sonore peuvent influer sur le taux de synthèse des protéines.
Cette onde sonore, ou encore protéodie, va influencer la création de protéines. Les protéines sont formées par les acides aminés. Lorsque ces derniers s’accrochent au ribosome, leur perte de liberté et leur stabilisation provoquent au niveau de la fixation, un comportement non plus « particulaire » mais ondulatoire. Cette onde a pu être interprétée et différenciée par acide aminé, autrement dit, chaque acide aminé possède son onde propre. L’équipe de Joël Sternheimer a pu traduire cette onde en onde sonore.
Après plusieurs phases de tests, la protéodie est née : En fonction du son émis (car on ne parle pas ici vraiment de musique), la protéodie va donc influencer la plante, afin de lui faire synthétiser la protéine voulue.A chaque son est associé une fréquence et des harmoniques. Or il semblerait que l’organisme réagit au son. cette théorie semble suggérer que les sons et les fréquences qui en résultent influencerait l’organisme. Une branche de recherche de ce phénomène c’est focalisé sur l’influence de la musique sur la croissance des plantes. En effet, les répercutions d’une telle découvertes pourraient s’avérer majeures dans certains domaines comme l’agronomie.
A partir de ces concepts, cette science baptisée « génodique », qui a fait l’objet d’un dépôt de brevet, permet de caractériser des ondes particulières, naturellement associées au processus de synthèse des protéines. Ces ondes traduites en séquences musicales agissent sur les processus de croissance des plantes ou bien, au contraire, les inhibent.
De nombreuses expériences ont été menées tant pour favoriser la productivité que pour traiter des maladies. Des applications sont actuellement en cours dans certains vignobles français, avec des résultats positifs là où les traitements chimiques étaient tenus en échec.
Grâce à son approche Sternheimer a notamment mis en évidence la relation entre l’éradication du Varon, parasite des bovins dans les étables françaises et anglaises et l’apparition de l’ESB communément appelée « maladie de la vache folle ».
La personnalité « hybride » de Joël Sternheimer, à la fois artiste-musicien et mathématicien, l’a conduit sur des sentiers innovants dont nous ne mesurons pas encore toute la portée. Ces découvertes appliquées pour l’instant aux secteurs de l’agriculture déboucheront à terme, de notre point de vue, sur des applications touchant la santé. Nous assisterons alors à la naissance d’une nouvelle voie, parmi d’autres, de la médecine du futur : la médecine quantique.
Lien de vidéo explicative : http://www.dailymotion.com/video/x1yt9g_la-musique-et-les-plantes_tech#.UWXAx6KpWuI