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La Réunion, une île un patrimoine

Quand 40 élèves de 4e du collège Stanislas de Nice partent à la découverte de L'île de La Réunion. Voir descriptif détaillé

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Introduction

Une île, un volcan à 9000 km de la métropole.
Un hot spot de Biodiversité du battant des lames au sommet des montagnes.

Le Projet

Vols (Alice et Enéa) :
À 10h, c’était l’heure des retrouvailles. Nous avons embarqué vers 13h00 pour Paris pour une bonne petite heure de vol. Puis, nous avons pris un énorme avion en direction de cette merveilleuse île : La Réunion ! C’était un très long vol dont nous avons profité pour nous reposer et nous divertir grâce aux écrans. En effet, dans l’avion, nous pouvions profiter des écrans à multiples fonctions tels que la mappemonde et des films. Nous avons été accueillis par Amandine et Solène, les deux éducatrices scientifiques qui nous ont concocté un sacré programme pour les jours à venir. Mais elles n’étaient pas seules, avec elles : un grand soleil et une chaleur ardente. Nous avons pris le temps de nous poser à l’ombre avant de reprendre la route. Au programme, un petit jeu pour nous réveiller et la présentation du programme de la journée. Après un petit sirop de fruit de la passion et une banane, direction la cité du volcan.

Cité des volcans (Eva) :
Après une magnifique photo prise en plein air avec le groupe au complet, nous avons continué en direction de la Cité du volcan. 1h30 de virages à travers de sublimes paysages. Lorsque nous sommes arrivés, nous avons mangé un sandwich typique : poulet, frites, fromage, puis répondu aux questions d’une fiche pédagogique sur les salles du musée durant notre visite. Nous nous sommes ensuite séparés en deux groupes pour visionner deux films : l’un des deux était en 4D et nous plongeait au cœur du piton de la Fournaise, et l’autre était fait en vue panoramique et nous parlait du système solaire. Nous sommes ensuite allés au camp de vacances à l’Étang-Salé-les-Bains, épuisés mais remplis de beaux souvenirs. Il est possible que quelques-uns d’entre nous aient un peu dormi lors du retour en bus.

Balade au bord de l’océan (Enéa) :
Après être allés à la cité des volcans, nous avons pris notre douche puis commencé une petite balade au bord de l’océan. La plage était extraordinaire car elle n’était pas composée de sable normal ou de galets comme sur nos plages à Nice. Non, le sable était noir. On nous a appris que c’était de la lave et non du sable. Au bout d’un moment, nous nous sommes arrêtés à l’ombre afin de profiter un peu de la plage. Nous sommes finalement retournés au centre pour nous reposer avant de manger.

« Cette journée était super, pas trop fatigante avec des pauses régulières. Les activités étaient bien organisées et bien réparties. La balade en fin de journée était bien pour se reposer et voir l’île d’une autre façon que seulement les volcans. » Charles CHAPELOT

Lundi 01 mai

Aujourd’hui, nous nous sommes levés à 7 heures afin de nous préparer pour notre randonnée. Ensuite, vers 7h30, nous avons pris notre petit déj’, puis vers 8 heures, nous étions prêts pour notre randonnée. Ensuite, nous avons pris le bus pour aller à la plaine des sables. Après des dizaines de virages, nous avons dû fermer les yeux lors du dernier. Quand nous les avons rouverts, l’effet « WOUAHOU » était là. Devant nos yeux se trouvait la fameuse Plaine des Sables, une étendue lunaire incroyable.

À l’arrivée, après avoir récupéré nos repas du midi à la sortie du bus (des wraps, des clémentines et un gâteau pas au chocolat, mais à la patate douce), nous avons fait 30 minutes de forum où nous avons commencé par partager notre petit bonheur depuis que nous nous étions réveillés, puis nous avons listé tout ce que nous savions sur l’île de La Réunion. Nous avons ensuite commencé la randonnée au sein du Piton de la Fournaise. Le paysage était tout noir, et le sol était rempli de pierres volcaniques et de sable. Le paysage était somptueux. C’était long, mais pas vraiment pénible car nous étions entre amis. Après une longue et dure marche, nous avons mangé. Nous avons fait très attention pour ne pas polluer la nature. En effet, nous étions en plein cœur du parc, il ne faut pas laisser de traces derrière nous.

Après avoir randonné pendant un petit moment, nous nous sommes arrêtés et avons divisé le groupe en deux afin de faire des ateliers en rapport avec la randonnée de la matinée. Lors de l’atelier de Manal, nous avons appris l’existence d’un 3e volcan : le Piton Alizé. Nous savons maintenant que les volcans sont érodés, que le Piton de la Fournaise est un volcan effusif mais peut parfois se comporter comme un volcan explosif et enfin, nous savons à présent que le Piton de la Fournaise entre en éruption environ 3 fois par an.

Des bisous aux familles.

Jeanne P, Marie, Lou A, Lily

Le deuxième atelier portait sur le fait de placer des cartes sur le sol pour former la carte de l’île de La Réunion. On nous a expliqué qu’il y avait 3 volcans sur cette île. Un avait été englouti par le Piton de la Fournaise.

Après les ateliers découverte, nous sommes remontés dans le car pour aller observer « l’enclos fouqué », où se trouvent les deux cratères principaux du Piton de la Fournaise, puis sommes remontés à l’intérieur du car.

Après une heure et demie de route pour retourner au logement, nous avons refait un petit point tous ensemble pour revoir toutes les connaissances acquises dans la journée.

Ensuite, nous avons effectué deux ateliers :

Le premier portait sur les objets pour observer les oiseaux. Nous avions les yeux bandés et il fallait au toucher deviner quel était l’objet que nous avions entre les mains et son utilité. La mission fut beaucoup plus simple quand nous avons pu retirer les bandeaux et redécouvrir tous ces objets.
Le deuxième portait sur les parties du corps des oiseaux et leur anatomie. Nous avons également découvert qu’il existait une multitude de fonctions aux plumes : voler, se camoufler, parader avec de belles couleurs... mais aussi digérer ! Oui, certains oiseaux piscivores mangent certaines de leurs plumes afin de protéger leur estomac des écailles des poissons.

En enfin, les responsables journal de bord ont assuré le partage des informations et les responsables affiche ont laissé libre court à leur imagination.

Flavio, Thomas, Charles, Guillaume

Mardi 2 mai

Nous avons commencé la journée en nous réveillant à 07h30 heure locale. Ensuite, nous avons pris notre petit déjeuner et sommes partis vers 08h30 pour un long trajet en bus. Nous nous sommes arrêtés une fois au bord de l’océan à Grande Anse pour jouer à un jeu qui consistait à se positionner quelque part en fonction de nos goûts, mais avant cela, nous avons fait un échauffement musculaire.

Après cela, nous avons continué la route jusqu’à l’enclos Fouquet. Une fois arrivés à destination, nous avons un peu marché sur la coulée de lave de 2007 et nos accompagnatrices nous ont expliquées que sous la surface, c’est encore chaud. On peut le savoir grâce à la pluie qui, quand elle tombe et s’infiltre, fait fumer la surface. La roche était ornée d’olivine, un minéral présent dans le manteau terrestre, qui cristallise en premier lors du refroidissement de la lave. Après avoir ramassé un ou deux souvenirs, nous sommes remontés dans le bus pour trouver un endroit où manger : direction Cap Méchant et ses falaises.

Ensuite, nous sommes allés visiter le jardin des fleurs et des épices, qui s’étend sur plus de 43 hectares. Il cultive exclusivement du curcuma, du cacao, de la vanille et du gingembre, mais aussi des arbres fruitiers et des plantes médicinales. Nous avons pu y découvrir toutes sortes d’espèces de plantes, telles que le buijouin, des espèces exotiques comme des avocatiers, de la cannelle et du laurier.

Il y avait également le camphre, qui peut vivre plus de 1000 ans et peut servir à fabriquer des meubles, ainsi que du poivre sauvage vendu à plus de 1000€ le kilo. Nous avons également pu observer un immense arbre de Judée, qui fait également partie des arbres fruitiers, puis avons vu de très belles fleurs, comme la rose de porcelaine, qui sert à faire du parfum et qui est comestible. Nous avons également vu des hibiscus. Toutefois, il est important de faire attention et de respecter les plantes afin de les protéger et de ne pas les confondre.

Sur le retour, petit moment insolite : nous avons pu voir des militaires sauter en parachute !

De retour après cette belle et chaude journée, chacun a eu du temps libre. Les missions de la journée ont été affichées et le journal de bord a été rempli !

Léo, Raphaël, Célian, Louis, Juliette, Jeanne, Charlotte et Inès

Mercredi 3 mai

Journalisme du matin : chambre 13

Résumé de la matinée : Tout d’abord, nous avons pris la route afin de rejoindre le fameux cirque de Cilaos. Pour parvenir en ce lieu protégé par des remparts gigantesques et impressionnants : les montagnes, nous avons passé quelques instants légèrement longs (ralentis par les travaux, mais nous ne leur en voulons pas car ils s’occupent de notre très chère route abîmée par l’érosion : merci à eux -> les ouvriers) dans le bus, dans l’espoir d’arriver un jour à notre destination… MAIS bien sûr, je rigole, nous sommes bien arrivés ! (Encore heureux) Je précise que c’était une route de montagne qui comporte près de 400 virages, selon un panneau que nous avons croisé… (Source à vérifier). Une sorte de blind test inter-bus a été improvisé grâce aux talky walky. De quoi faire passer le temps

Après un passage aux toilettes et de délicieuses bananes réunionnaises du jardin du tonton d’Amandine (beaucoup de « de » et de « du », désolé), Manal nous a expliqué une partie de l’histoire de La Réunion : Quand la colonisation a démarré, l’île de Madagascar était une cible pour les colons européens et, comme les peuples malgaches étaient férocement attachés à leur terre et que la colonisation était compliquée, les Européens avaient besoin d’un terrain de repliement : l’île Maurice était parfaitement placée. L’île de La Réunion n’a pas été choisie car ces falaises de rochers menaçants, contre lesquels les vagues qui viennent s’écraser avec violence, avaient dissuadé les équipages. Vers 1650, La Réunion qui était alors déserte humainement fut peuplée. Les reliefs ne permettaient que des cultures compliquées et les nouveaux Réunionnais firent rapidement appel aux esclaves des environs. Cependant, dans des conditions de vie peu favorables en tant qu’esclaves, il y eut vite des escapades… Ainsi, le cirque de Cilaos entre en jeu. Ce fut une cachette pour les esclaves surnommés les « marrons », l’origine de ce mot est espagnole et il m’échappe, mais ça veut dire « qui s’est échappé/enfuit ». Nous connaissions donc l’utilité du cirque pour les hommes. Mais il restait difficile d’accès : pour y monter, il fallait 16 esclaves afin d’être porté et 3 jours. Les riches s’y rendaient pour leurs fameux thermes. Après les bananes, nous avons fait une légère marche pour arriver à l’aire de repas ; le plateau des chênes. Bon appétit et merci aux accompagnateurs de s’être privés de repas en attendant pour nous… !! Lisa Théodore, Lou Bertora, Maëlle Carpentier, Eva Rose Bronsard

Ce midi, nous avons mangé du chop suey ( carottes, poulets, champignons, courgettes, poivrons vert et une sauce). Nous avons repris le bus pour monter en haut du Cirque de Cilaos où nous nous sommes regroupés pour apprendre différentes espèces d’oiseaux pendant que des groupes de 15 montaient encore plus haut sur une petite plate-forme pour admirer le paysage. Amandine nous a fait écouter le chant de différents oiseaux. En attendant l’arrivée du bus un jeu a été proposé : compter jusqu’à 10 sans que d’autres disent le même chiffre. Pour finir, nous sommes rentrés au centre et avons fait une petite balade en front de mer pour admirer le coucher de soleil sur la plage. Et en revenant Alexandre fit une magnifique chute. :)

Jeudi 4 mai

Le matin (Elissa Quassid et Enéa Grech) :
Ce matin nous sommes partis en bus pour deux heures en direction du belvédère du Maïdo. Une fois sur le parking du Maïdo, Amandine et Solène nous ont distribué des petits pains aux pépites de chocolat appelés macatias. Après dix minutes de marche nous arrivons à ce magnifique point de vue qui surplombe le gigantesque cirque de Mafate.

Nous avons fait un jeu d’observation par groupe consistant à deviner les modes de vie des habitants de ce cirque isolé. Chaque groupe avait un thème attribué : communication, habitation, locomotion, écosystème et travail. Puis chaque groupe a présenté ce qu’il avait trouvé. Nous avons pu apprendre que :
-  Dans le cirque de Mafate il y a dix petits villages appelés ilets.
-  Les habitations sont des petites maisons colorées contenant des grands jardins, des poulaillers…
-  Pour accéder au cirque de Mafate, il faut soit marcher soit y aller par hélicoptère.
-  Il n’y a que des sentiers pédestres constitués en grande partie de marches, il n’y a donc qu’une dizaine de vélos par an qui accèdent à ce cirque.
-  Pour faire plus de 100 kg de courses :
• On descend sur la côte à pied : il est impossible d’utiliser sa voiture ;
• On fait ses courses ;
• On les dépose dans un pick-up qui l’emmène jusqu’à la compagnie d’hélicoptère ;
• Un hélicoptère les récupère et nous les dépose dans le jardin.
-  Pour faire moins de courses, il faut y aller et revenir à pied et porter soi-même ses courses.
-  Nous ne pouvons vivre à Mafate que par héritage.
Après cet exercice riche en informations, nous sommes allés manger et nous avons repris le bus pour 1h en direction de Kelonia.

L’après-midi (Antoine Von steinburg, Eliott Cayla-Maschi,Chad Spagnol et Aurélien Thomas) :

Cet après-midi, nous avons visité un centre de soins pour des tortues en convalescence. Beaucoup d’entre elles ont été victimes des activités humaines et ont été ramenées par des pêcheurs ou des gardes-côtiers. Il y a également des tortues qui sont trop faibles pour être relâchées dans l’océan immédiatement.
Les tortues sont apparues sur Terre il y a plus de 110 millions d’années, mais les espèces actuelles ne sont pas du tout les mêmes. Il existe 7 familles de tortues vivant à notre époque : la tortue verte (qui vit dans une grande partie de tous les océans), la tortue luth (présente également dans tous les océans), la tortue caouanne (également dans tous les océans du monde), la tortue imbriquée (vivant dans les eaux tropicales), la tortue olivâtre (que l’on retrouve également dans les eaux tropicales et tempérées), la tortue de Kemp (présente dans les eaux tropicales de l’Atlantique du Nord) et la tortue à dos plat (vivant uniquement dans l’océan Indien, près de l’Australie).
À La Réunion, les tortues avaient presque disparu, mais des femelles viennent y pondre leurs œufs. C’est le cas d’Emma, une tortue verte qui pond ses œufs tous les 3 ans sur les plages de La Réunion depuis 2007.

Ensuite, nous sommes allés manger des glaces sue la plage près de notre hébergement, avant de tremper nos pieds dans l’eau, puis de rentrer pour la nuit.
Avant de dormir, c’est valises ce soir car demain nous changeons de logement. La nuit prochaine, nous dormirons à l’observatoire !

Vendredi 5 mai

Peu de connexion - nouveau logement
Randonnée aux Makes entre agriculture des haut et forêts de bois de couleur.
Sentier d’interprétation dans la forêt de Bon Accueil.
Découverte d’arbres endémiques Change écorces, bois de corail, notre fougère arborescente fanjan.
Découverte du chant du merle de la Réunion.
Sentier boueux à l’origine de quelques glissades et cascades et d’une photo souvenir. Nettoyage des chaussures avec les incroyables feuilles du bringellier marron.

Texte d’Elissa :
Après s’être réveillés nous avons dû prendre nos valise pour partir aux Makes. Une fois arrivés à destination nous sommes montés dans la forêt des bois de couleurs pour randonner. Nous avons séparé le groupe en deux et nous avons emprunté des chemins différents accompagnés d’Amandine et Manale. Nous avons pu découvrir plusieurs espèces d’oiseaux, d’arbres… Lorsque nos chaussure on été bien décorées par la boue, nous sommes redescendus pour manger.
Au menu nous avions chouchou, riz et poulet. Après le repas nous sommes rentrés et nous avons fait plusieurs jeux. Le premier jeu était une course, mais pas une course comme les autres : c’était une course de dromadaire. Nous devions nous mettre par groupe de trois et le premier restait debout le deuxième se pliait en deux et le troisième montait sur le dos du deuxième. Puis nous avons fait le jeu des déménageurs. On se divisait en deux groupes de vingt et le premier faisait les objets et le deuxième les déménageurs. Le but était d’amener le plus vite possible d’un bout à l’autre du terrain les objets. Ensuite nous avons pris le gouter et nous avons emménager dans les nouvelles chambres.
Une fois les douches prises et le repas mangé nous sommes allés à la soirée astronomie. Nous nous sommes divisés en trois groupes. Un regardait la lune ainsi que d’autres étoiles dans des lunettes, un autre regardait la lune au télescope et le dernier regardait plusieurs étoiles, constellation, etc… dans un télescope relié à un ordinateur. A la fin de cette soirée nous sommes allés se coucher.

Après-midi grands jeux extérieur et ce soir, soirée astro incroyable !

Plus de détails et de photos demain...

Samedi 6 mai

Après une nuit courte, fraîche et humide à l’observatoire, réveil à 7h dans un cadre de rêve. Direction le marché de St Paul. Récepteurs sensoriels stimulés à 200%, nous avons déambulé pour trouver les derniers souvenirs à ramener. Dégustation de plats, de fruits (papaye, pomme cannelle, fruits de la passion, noix de coco, pitaya…) et de jus de fruits locaux.

Pendant le temps du repas, alerte à Malibu : les apprentis scientifiques ont vu un aileron de requin. Sûrs de leurs connaissances sur la bête, ils alertent les scientifiques expérimentés et grosse désillusion : ce n’était que des dauphins…
Ensuite, direction l’aquarium de St Gilles dans lequel les apprentis scientifiques ont découvert les différences entre un requin, une baleine et un poisson clown !
Pour finir, nous avons vécu un moment riche en émotions : l’au-revoir à nos deux formidables et exceptionnelles accompagnatrices scientifiques sur place Amandine et Solène qui ont eu droit à une ola bien méritée.

Dernier trajet en bus en direction de l’aéroport avec des étoiles plein les yeux et des souvenirs inoubliables à n’en plus finir.
Nous en profitons pour remercier sincèrement les parents pour leur confiance, les enfants pour leur sourire, leur curiosité et leur attitude positive souvent soulignés par les personnes que nous avons rencontrées.
L’équipe accompagnatrice.

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